Grosse journée occupée (d’après Antoine)

Je n’ai pas lu l’article de Charlotte, donc si il y a des doublons, c’est la vie.

Top départ en taxi pour s’économiser au maximum les pieds avant cette journée !

On vous à déjà parlé des taxis japonais ?

Déjà on les commandes un peu comme Uber, sauf que l’application s’appelle GO.

Ensuite les taxis ressemblent à des voitures sorties tous droit des années 50.

Première chose qui prouve que les vehicules sont un peu plus récents.. On ne touche pas la porte ; car oui c’est le conducteur qui ouvre la porte… Mais sans bouger de sa place… Avec un bouton. Et ensuite la porte se referme aussi avec un bouton.

Donc attention aux reflexes !

Il y a aussi un écran dans le dos du siège avant pour gentillement passer des publicité en boucle. Moins fun.

Après avoir monté une grosse pente à pied bouchée par des taxis, des taxis, des vans, des taxis, des pousse-pousse, des taxis, nous sommes arrivés aux portes du temple Fushimi Inari.

Donc il a fallu que nous nous recompensions de l’effort em achetant une sorte de fraise confite sur un mochi

Le goût est vraiment assez dur à décrire à part que cela avait goût de mochi.

Bref, on commence le vrai périple en passant derrière de le temple principal.

Ce temple est aussi connu sous le nom de temple des 1000 portes.

Et c’est une véritable ascension, car on va monter à plusieurs centaines de mètres au dessus de la ville.

Heureusement l’ombre de la forêt aide beaucoup pour éviter le soleil qui tape dûr.

Nous n’iront pas jusqu’au sommet, mais nous serons tous de même récompensé par une belle vue sur la ville se Kyoto

La redescente, plus rapide que l’on ne fera pas par la route traditionelle, mais par un chemin un peu caché au travers d’une foret de bambous

Petite pause repas pour retrouver des forces. Nourritute fournie par les étals à l’entrée du temple. Même endroit que notre mochi à la fraise.

Ensuite retour à l’hôtel pour se reposer un peu, ainsi que receptionner nos valises.

Car oui, on se fait livrer nos valises entre hôtels ! Très pratique pour éviter de les trimballer dans les transports.

Puis ensuite on repart.. Pour une nouvelle montée..

Rue commerçante qui débouche sur un nouveau temple : Kiyomizu-dera

Sa particularité ? Em plus d’être grand, on va le voir rapidement.

Donc forcément, il y a du monde.

Donc on en a aussi profité pour faire notre propre shooting.

Veuillez apprecier ma pin-up préférée

Après tous cela, il était temps de repartir car nous avions un rendez-vous de programmé.

Ce soir, spectacle au Gion corner, situé dans le quartier de Gion ; le quartier historique des Geisha (ou geiko quand on est à Kyoto)

Un spectacle qui présente pendant 50 minutes différents arts traditionels japonais :

• Chanoyu, l’art de la préparation et du service du thé (ceux qui payait le billet spécial recevaient le thé préparé)
• Musique Koto, un type de cithare, l’instrument national du Japon
• La composition florale Ikebana
• La dance de cour Bugaku
• La théâtre de comédie populaire Kyogen (sans surprise, la salle a beaucoup apprécié)
• La danse et chant Noh (celle-ci nous a fait peur)
• La danse Kyomai par deux maiko (apprenties Geisha) qui était très belle

À la fin de ce spectacle qui nous appris beaucoup de choses, et surtout répondu à pas mal de questions sur des choses que nous avions vu durant le voyage, nous sommes parti à la recherche d’un restaurant.

Charlotte réclamait depuis longtemps des sushis, et les voici !

Conclusion : une Charlotte heureuse qui a mangé les meilleurs sushis de sa vie.